lundi 20 août 2012

Bang Kok

Le lendemain, il faut se décider à rentrer. Je prends donc un bus, qui peut prendre mon vélo, et arrive donc à  l'une des gare routière de bangkkok, en péripphérie de la ville. Je me farcie donc 10km de élo dans bangkok pour rejoindre la boutique, et rendre mon destrier. Je récupère l'intégralité de ma caution (ouf), et me met en quête d'un hotel. Suivant le Lonely Planet, je trouve une Guesthouse un peu huppé, dans une rue où se mêlent sans sourciller les grands hotels, les guesthouses pourries et les jolies filles qui se baladent aux bras d'occidentaux bedonnants.

Je changerai d'hotel par la suite pour un quartier plus calme, et plus proche du centre. Je dois dire que Bangkok et sa circulation ne m'avait pas manqué. Après 3 semaines au milieu de la campagne, le retour est rude.

Les odeurs, le bordel, le bruit, la pollution... Mais c'est également l'occasion de visiter une ferme aux serpents, de faire du shopping, et de profiter des salons de massages.



Bientôt, il faudra reprendre l'avion, alors autant profiter. A noter que, comme en france, plus le resto est cher, moins il y en a dans l'assiette.

Je fais également un petit tour au par Lumphini, havre de verdure au milieu des gratte-ciels, où les amoureux viennent faire du bateau-canard, et les habitués pratiquent le taïshi.


Je repars donc avec l'estomac plein et les papilles contentées malgré quelques détails ailés, les yeux pleins de nature luxuriante, et l'âme en paix. De quoi tenir un an au moins dans la terrifiante nature marmandaise!





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